Eléments de contexte
Rappel des fondements des paysages bâtis
– Typologie des paysages forestiers
– Les coteaux, des milieux spécifiques
Rappel des processus de transformation des paysages
– Une fragmentation des espaces forestiers et naturels par les infrastructures et l’urbanisation
– La fermeture des paysages de coteaux et pentes
– Les coteaux et les vallées : enfrichement des anciens vergers et des pelouses calcaires, progression de la forêt
– La prise en compte de l’intérêt patrimonial des espaces naturels : mesures de protection et de gestion, ouverture au public de certains espaces naturels
Objectifs visés
– Conforter le rôle économique, social et environnemental de la forêt
– Valoriser les paysages et les milieux forestiers de production
– Favoriser la prise en compte des enjeux environnementaux dans les pratiques sylvicoles
– Adapter les pratiques au contexte de changement climatique (fréquence des tempêtes, réchauffement des températures...)
Valeurs paysagères concernées
4- L’omniprésence et la proximité des espaces de nature
Unités de paysage particulièrement concernées
Toutes les unités de paysage
Recommandations
– Maîtriser le développement de l’urbanisation, des infrastructures, de l’agriculture et des énergies au détriment de la forêt
– Préserver des espaces-tampons agricoles entre forêt et urbanisation
– Promouvoir la recherche, l’expérimentation et la mise en œuvre de pratiques sylvicoles en faveur d’une forêt moins vulnérable aux risques ;
Acteurs et partenaires
– Les communes
– L’ONF
– Le Conseil Général 54
– Le Conseil Régional de Lorraine
– Le CRPF
– La SAFER
– Le PNRL
– La Chambre d’Agriculture
Outils et moyens existants et à mobiliser
Opérationnels :
– Les Chartes forestières de territoire
– Schémas stratégiques forestiers de massif (SSFM)
– Plan de développement de massif pour améliorer la gestion de la forêt privée élaboré par le CRPF
– Mesures agro-environnementales territorialisées visant à limiter l’emploi de fertilisant ou à retarder les fauches dans les prairies mésophiles, par exemple.
– Les plans de gestion écologique, pouvant couvrir une durée de 6 ans, et engageant des actions en concertation avec les différents acteurs locaux.